• C'esr riche, riche. Tout ce qui se passe sur les bloggs. J'ai l'impression que c'est une fenêtre ouverte sur le monde entier. Bon je sais j'enfonce une porte ouverte. ce genre de phrases a été dites mille fois.

    Mais quand m^me c'est génial.

    En ce moment, j'ai du temps alors j'en profite.

    Bon il faudrait que je mette quelques photos.


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  • Pourquoi les banlieues ?

    Parce que je suis née en banlieue. Pas la belle la cossue le 78 non. Le 94 dans les années 70.

    C'était la banlieue rouge. Notre petit pavillon minable était coincé (on vivait à 7 dans 3 pièces sans salle de bain) entre des voisins communistes et la cellule du parti. Personne ne me croira. Et pourtant c'est vrai. Nous on était à cheval entre la famille Groseille et la famille DUQUESNOY.

    Ma mère, bourgeoise déchue, s'était déclassée (comme me l'a confié un jour une grande tante) par son mariage. Elle avait épousé un fils de bistrot comme on nous dit chez les vendeurs de bière.

    Ma mère est le pur produit de son éducation. Catho, rigide, qui a fréquenté le lycée de la Légion d'honneur à Versailles, est allée dansée au bal de Saint Cyr, a failli épousé un viconte un certain F du P. Mais elle a fini par céder aux avances d'un immigré sicilien déjà marié, sui a filé sitôt l'annonce de la grossesse et me voilà.

    Depuis, elle expie son péché. celui d'avoir pris du plaisir avec le sicilient.

    Elle est très douée en auto-flagellation.

    Mon père enfin celui qui m'a reconnu et elevé est un voyou et heureusement. Mais il n'a jamais réussi à décoincer ma mère. Il parle fort, il tutoie tout le monde, il aime un peu trop le ricard et les putes.

    A+ Je vais fumer


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  • Terrible, ce truc.

    Oui, dernièrement j'ai rencontré une pétasse de 35 balais qui a une gueule qui ressemble à un cul de poisson. C'est dire et en plus elle a le QI d'une moule. Vous imaginez l'engin.

    Bon si quelqu'un a une illustration d'un cul de poisson, je suis preneuse.

    Merci.

    A+


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  • J'ACCUSE

    Me voici sur la planète des bloggs.

    Déjà à 14 ans, j'ai dévoré tous les livres D'Emile Zola. Hier, à 42 ans, je regarde à nouveau "Germinal" que j'ai lu et relu. Les mots n'ont pas vieilli d'une miette.

    Un siècle de luttes sociales et ce sont toujours les mêmes rengaines. Capital, concurrence, coût de revient, exploitation des hommes, grève, faillite, travailleurs étrangers que l'on fait venir.

    Vivons-nous un retour en arrière ou bien le temps s'est-il arrêté ? Pourtant, il y a ce bon vieux Karl Marx, Lénine, la révolution d'octobre puis les désenchantement. Les trente glorieuses. L'émergence d'une énorme classe moyenne en France. Cette classe est en train de s'effriter par le bas? Tous ceux qui sont gagnés par le chômage et la précarité. Par le haut, tous ceux qui deviennent plus riches.

    Les immeubles brûlent sur la misère du Tiers Monde réfugiée dans ce qu'ils croient être un "el dorado". L'Occident ou le miroir aux cons.

    Ce qui compte c'est la lutte bien menée et ensemble. Mais chacun parce qu'il est homme ou femme ne rêve que de posséder.

    Moi, je suis passée par la mort sociale, c'est-à-dire le chômage après avoir pris le train de la réussite des jeunes cadres dynamiques. je reviendrai sur la mort sociale du chômeur.

    A+


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